C’est LA recette de mamie d’Emmanuel, la fameuse Madame Graule du livre Cuisinière catalane paru aux éditions Stéphane Bachès, toujours en vedette à la Maison Quinta de Perpignan. Petite entorse à la tradition : j’ai ajouté du chorizo haché dans la farce… et c’est très bon !
Pour ce blog, j’avais envie de partager toutes mes recettes dans des carnets. Si vous souhaitez feuilleter et conserver une version papier, procurez-vous un carnet de croquis Moleskine, 104 pages, 13 x21 cm. En cliquant sur la recette, vous pouvez la visualiser en plus grand et l’imprimer (réglage à 111%) pour coller chaque page selon la pagination indiquée. Chaque fin de trimestre, je publierai le sommaire du carnet et je passerai à un autre « Moleskine de saison ».
10 janvier 2013 à 17 h 27 min
Pour le moins un monument! La recette ressemble très fort à celle de ma famille; hormis le chorizo mais il y a un détail essentiel à préciser: les boles de picoulat se servent avec des haricots blancs! (et chez moi on ne met pas de cèpes mais un petit champignon local dont le nom m’échappe…)
10 janvier 2013 à 17 h 34 min
J’ai appris une chose essentielle en travaillant sur cette collection de livres de cuisine régionale : il y a autant de variantes de chaque recette que de cuisinières ! Alors pourquoi pas les haricots blancs !
10 janvier 2013 à 23 h 12 min
simplement succulent .pour très bien connaitre les boles .
11 janvier 2013 à 10 h 13 min
Merci pour votre réponse rapide et la jolie recette. Encore tos mes voeux.
J’aime beaucoup toutes vos recettes et j’essaye d’acheter tous…. vos livres.
A bientôt.
Danièle
15 janvier 2013 à 11 h 57 min
Merci à bientôt Danièle
8 avril 2013 à 14 h 08 min
Bonjour,
la recette des bolas de picoulats a sûrement des variantes car ma grand-mère mettait les même proportions en viandes pr les boules ,mais ensuite il n’y avait pas de vin blanc ni de sauce tomate, ni piment d’espelette ou chorizo. Elles étaient cuisinées avec des haricots blancs, couenne , un morceau du jambon , olives et les petits champignons (pour Riane qui avait perdu leur nom) étaient des courioulettes (nom catalan) que mon arrière grand-père ramassait en montagne quand il gardait les brebis…. Tout ça mijotait sur la cuisinière à bois toute la matinée jusqu’à ce que les haricots se fondent peu à peu….que de souvenirs….que du plaisir!!!
8 avril 2013 à 14 h 14 min
Je crois qu’il existe autant de recettes que de cuisinières. pour ma part, j’ai innové en ajoutant du chorizo et du piment d’Espelette dans la recette de la grand-mère de mon mari. Je suis ravie d’avoir découvert la variante que vous proposer, merci.